Saviez-vous que Bruxelles compte 184 nationalités ?
De quoi abriter des milliers d’histoires, et un grand nombre de langues pour les raconter. C’est le pari réalisé avec ce projet et la grande fédération d’acteurs culturels et sociaux
initiée par Passa Porta, la Foire du Livre, Le 140, Muntpunt, Picture festival, La Ville des Mots 2021 et Chaire Mahmoud Darwich/Bozar.
Pour faire de Bruxelles une ville aux 1001 récits.
Le 21 mars, pour cette première journée estampillée City of stories , des lectures sont proposés pour rompre l’isolement et célébrer le printemps malgré les confinements successifs. Le public intéressé est invité à réserver en ligne pour recevoir un.e comédien.ne qui vous apportera l’histoire à domicile au moment choisi. Plusieurs options de langue sont disponibles ! Pour recréer du lien par les mots, les textes, les idées, sans prendre aucun risque avec le virus.
Nisma Alaklouk (1986), écrivaine palestinienne, vit et travaille à Bruxelles.
Nisma Alaklouk a publié trois romans en arabe et son œuvre a été reprise dans plusieurs recueils. Elle a déjà remporté plusieurs prix littéraires en Palestine et est active comme autrice PEN en Flandre. Brussselse vrouwen (Bitbook, 2019, trad. Desirée Custers) est son premier roman complet traduit en néerlandais.
https://nisma.home.blog/
textes lus au seuil des maisons et dans les jardins:
Nous aussi, nous aimons la vie de Mahmoud Darwich,
une larme élégante de Lamia Almokadam
Dans le tram, et Gaza dans mes pensées (libre traduction) de Nisma Alaklouk